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Mes photos en digiscopie sont floues…

10 questions-réponses pour trouver les meilleures solutions

  1. Comment puis-je savoir à quelle cause de flou j’ai affaire ?

  2. Dois-je employer le stabilisateur de mon APN pour réduire les flous de bougé ?

  3. Comment mon APN réalise-t-il sa mise au point (MAP) ?

  4. Comment soigner ma MAP en pratique ?

  5. Dois-je travailler en MAP normale ou en mode macro ?

  6. Dois-je utiliser le servo AF ou pas ?

  7. Vaut-il mieux effectuer la MAP dans l’oculaire de la longue-vue ou sur l’écran de l’APN ?

  8. Comment combiner au mieux MAP centrale et composition de l’image ?

  9. Comment augmenter la profondeur de champ ?

  10. En pratique, quels sont les meilleurs réglages pour réduire les risques de flou ?

TopOptics

Le flou est le cauchemar n°1 du digiscopeur. Identifions d’abord ses causes principales :

 

En premier lieu, les images obtenues en digiscopie souffrent chroniquement d’un certain manque de piqué par rapport à celles d’un super-téléobjectif de haut de gamme. L’image est globalement « moins nette » en ce sens que les détails très fins n’apparaissent pas. Ce n’est pas un véritable problème de flou, mais les résultats sont similaires.  C’est dû aux performances optiques de la longue-vue mais aussi  à celles de l’APN compact, moins performant qu’un reflex de bon niveau.  Pour plus d’infos à se sujet, suivez les liens vers le choix d’une longue-vue et le choix d’un APN.

Il faut aussi mentionner ce que j'appellerai "le flou d'éloignement". La digiscopie produisant de très forts grossissements, on est tenté de photographier des sujets lointains. Au-delà de 100-200m, cependant, les perturbations de l'atmosphère (poussières, embruns, tremblements de l'air) provoquent un flou qu'il n'y a hélas pas moyen de combattre.

 

Vient ensuite le flou de bougé provoqué par un mouvement durant la prise de vue. Comme le digiscope laisse passer peu de lumière jusqu’au capteur, la vitesse d’obturation de l’APN (temps durant lequel il laisse son diaphragme ouvert pour laisser entrer la lumière nécessaire) est souvent assez lente (par exemple 1/100è de seconde). Si, durant ce délai, un mouvement se produit, la photo présentera un « flou de bougé ». Les solutions passent par un digiscopie stable. Suivez les liens vers le choix d’un adaptateur, le choix d’un trépied et le choix d’une rotule de digiscopie.

Il convient également d’adopter sur l’APN des réglages qui favorisent une vitesse de prise de vue élevée. Suivez le lien pour les bons réglages de l’APN en digiscopie.

 

Enfin, vient le flou de mise au point (MAP). La digiscopie se pratique avec un diaphragme aussi ouvert que possible en raison de la faible quantité de lumière disponible, et les initiés savent qu’à pleine ouverture du diaphragme, la profondeur de champ est fortement réduite. En pratique, cela veut dire qu’en digiscopie, la profondeur de champ se mesure en centimètres voire  en millimètres. Il sera donc essentiel de soigner au maximum sa MAP. Nous en reparlons plus loin en détail. 

A noter aussi que ces 3 causes de flou peuvent fort bien se superposer. 

Le flou de mise au point

flou de MAP
© Digiscopie.info
Flou de MAP
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Flou de MAP
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Netteté du sujet non satisfaisante Vue de détail : netteté imparfaite sur le sujet principal Vue de détail : la MAP s'est effectuée sur un élément de l'environnement

1. Comment puis-je savoir à quelle cause de flou j’ai affaire ?

 Ce n’est pas toujours simple. Si le problème vient de la MAP, on pourra souvent observer quelque part sur l’image une zone parfaitement nette. Par exemple, la mise au point s’est faite sur une brindille qui était légèrement devant la cible et non sur la cible elle-même.

Si le problème vient du bougé, toute l’image est également affectée, aucune zone nette ne peut être détectée. Lorsque le flou de bougé est sévère, le « filé » du mouvement (parfois recherché à fins artistiques) est perceptible.

Si, alors que les causes de flou de bougé et de MAP sont écartées, l’image reste peu nette, le problème est probablement lié au manque de piqué, donc aux faibles performances du matériel en digiscopie.

Le flou de bougé Flou de bougé
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Flou de bougé
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Netteté du sujet non satisfaisante Vue de détail : aucune zone de l'image n'est nette.
On a affaire à un flou de bougé

2. Dois-je employer le stabilisateur de mon APN pour réduire les flous de bougé ?

 Beaucoup d’APN modernes sont équipés d’un système de stabilisateur de l’image censé réduire les flous de bougé. Ce stabilisateur peut être mécanique ou électronique, ce dernier principe réduisant la qualité d’image. Normalement, en digiscopie, on travaille dans des conditions très stables, sur trépied. Les mouvements importants liés à la photo à main levée que les systèmes de stabilisation sont censés combattre n’existent donc pas. On lit régulièrement que, dans un tel cas, le stabilisateur, cherchant à corriger un mouvement qui n’existe pas, provoque plus de flou qu’il n’en supprime. Je n’ai jamais constaté le phénomène, mais mieux vaut être prudent et débrancher son stabilisateur.

Une astuce pour voir si vos images sont perturbées par un problème de "bougé".

Travaillez exactement comme vous le faites d'habitude, mais réglez votre APN sur le mode "vidéo". Au moment de la prise de vue, laissez- le filmer au moins 5 secondes. Visualisez vos séquences vidéo : si l'image tremble, vous êtes sujet à un flou de bougé. Ce sont surtout les petits tremblements rapides qui sont nocifs.

Notre partenaire TopOptics vous aidera à bien choisir votre matériel de digiscopie : www.topoptics.biz

3. Comment mon APN réalise-t-il sa mise au point (MAP) ?

Comprendre comment travaille l’appareil est utile quand on veut résoudre un problème.

Sur les APN modernes, la mise au point est assurée automatiquement. On parle d’autofocus (AF). La MAP manuelle est parfois encore possible, mais est tellement laborieuse qu’il vaut mieux l’oublier, sauf s'il n'y a pas d'autre solution.

La plupart des compacts  et des bridges utilisent un AF à détection de contraste. Une partie de l’image est analysée par le microprocesseur interne de l’appareil et celui-ci corrige la MAP via un petit moteur électrique. Par essais et erreurs, le computer trouve la position de MAP où le contraste de l’image est le plus élevé, ce qui correspond à la netteté maximale. L’ensemble du processus ne prend qu’une fraction de seconde. Les appareils reflex utilisent un système différent et plus rapide, dit « à détection de phase » que l’on voit arriver sur des compacts experts.

 

 

Le système de détection de contraste est-il infaillible ? Non… pour être efficace, il a besoin de contraste, ce qui veut dire qu’il peut faillir si la lumière est faible ou si le contraste entre le sujet que nous souhaitons mettre au point et son environnement est réduit. Des structures répétitives dans l’image (vagues…) peuvent le leurrer. Il est aussi difficile d’obtenir une mise au point correcte lorsque le sujet est à l’ombre et l’arrière plan ensoleillé car, dans ce cas, l’AF préfère effectuer la MAP sur les zones les plus lumineuses où il trouve les contrastes les plus forts.

Pour obtenir une bonne MAP, essentielle en digiscopie, il faudra donc gérer ces imperfections de l’AF.

 

Problème autofocus

Un cas très compliqué pour l'autofocus : le sujet est plus sombre et moins contrasté que certaines zones de son environnement proche. Dans un tel cas, l'AF "passe à côté" du sujet. Obtenir une bonne mise au point est quasi-impossible, sauf en recourant à la mise au point manuelle.

© Digiscopie.info

4. Comment soigner ma MAP en pratique ?

Il faut d’abord sélectionner sur l’APN un mode de prise de vues compatible avec la digiscopie. Suivez le lien pour les bons réglages de l’APN en digiscopie.

Si vous avez sélectionné un mode de prise de vues adapté, votre AF travaille dans une zone qui apparaît dans le viseur ou sur l’écran comme un rectangle. C’est à l’intérieur de cette zone que le computer recherchera le meilleur contraste, donc la meilleure MAP. Cette zone doit

  • être de petites dimensions pour enserrer précisément la portion de l’image où on veut que la MAP soit parfaite

  • ne pas être « trop » petite car elle pourrait alors glisser accidentellement à côté de cette portion d’image

  • être placée au centre de l’image (sauf dans des cas bien spécifiques où l’on est certain de la position qu’adoptera le sujet, par exemple, en affût)

Cadre AF
Il est essentiel que la zone de travail de l'AF soit précisément située sur le sujet dont la netteté est souhaitée. © Digiscopie.info

Cette petite zone de travail de l’AF devra, durant la prise de vue, être placée avec soin sur le sujet et non son environnement. Si le sujet est proche, on visera la tête ou l’œil car ce sont les parties du corps où la netteté est la plus importante pour un bon cliché. Si la photo englobe plusieurs individus, c’est celui-du premier plan qui doit être le plus net et donc cadré dans la zone d’AF.

Bien entendu, il y a des exceptions à ces règles, selon le but poursuivi par le photographe. Par exemple, si un oiseau fait sa toilette et ébouriffe le plumage, on peut fort bien soigner la MAP sur les plumes ébouriffées plutôt que sur l’œil. Si un groupe d’oiseaux inclut un individu d’aspect différent, on peut choisir que ce soit lui qui soit parfaitement net, même s’il n’est pas au premier plan…

 

5.     Dois-je travailler en MAP normale ou en mode macro ?

 Les APN modernes offrent un mode de mise au point « macro » et parfois aussi un mode « super- macro ». Ces modes sont en principe plus précis que le mode normal de MAP et on les recommande souvent pour la digiscopie. Personnellement, je n’ai jamais noté de différence objective, mais cela vaut la peine de comparer.

 

6.     Dois-je utiliser le servo AF ou pas ?

Les APN compacts experts disposent d’un mode « servo » pour la mise au point, c'est-à-dire que le computeur interne recherche continuellement la netteté maximale dans la zone de travail de l’AF. Sachant que la profondeur de champ est très faible en digiscopie, c’est évidemment très utile quand on veut photographier un sujet en mouvement, puisque sa distance à l’objectif varie sans cesse. Par contre, l’usage du servo rend indispensable de conserver la zone primordiale du sujet dans le rectangle central de l’AF. Pour les sujets statiques où une autre solution est possible via la mémorisation de la MAP (voir question 8), utiliser le servo n’est pas idéal et peut même être nuisible.

Signalons aussi que le travail perpétuel de l’AF en mode servo consomme rapidement l’énergie des batteries.

 

7. Vaut-il mieux effectuer la MAP dans l’oculaire de la longue-vue ou sur l’écran de l’APN ?

Il existe deux écoles parmi les digiscopeurs : ceux qui prônent la MAP grâce à l’oculaire de la longue-vue et ceux qui préfèrent la régler via l’écran LCD de l’appareil. C’est en réalité un faux problème. Comme nous l’avons expliqué, le système d’autofocus de l’APN recherche la meilleure netteté en optimisant le contraste. Notre œil, avec ses défauts, ne peut pas être aussi précis que lui, que l’on travaille via l’oculaire ou via l’écran de l’APN.

Il n’est en réalité pas indispensable d’obtenir une netteté parfaite pour notre œil avant de prendre la photo. Tant que la MAP que nous avons faite manuellement sur la longue-vue est assez proche de l’optimum, l’AF corrigera de lui-même. Une MAP parfaite à l’oculaire ou sur l’écran pour une personne ayant un problème de vue peut même être tellement écartée  de l’optimum que l’AF ne parvient pas à la « récupérer » et que le résultat sera une image floue. Si cela vous arrive de manière répétée, c’est le signal que vous devez chausser vos lunettes pour digiscoper.

Quoi qu’il en soit, vérifiez toujours que votre APN vous confirme qu’il a été capable de réaliser une bonne MAP, ce qu’il fait généralement en affichant son rectangle de travail en vert (voir votre mode d’emploi).

 

8. Comment combiner au mieux MAP centrale et composition de l’image ?

Placer le sujet dans  la zone centrale afin d’en peaufiner la MAP n’est souvent pas idéal pour une composition équilibrée de l’image. La fameuse « règle des tiers » nous apprend que le centre d’une image est justement une région esthétiquement secondaire. Pour contourner cet écueil, deux solutions se présentent :

  • on peut assurer un cadrage assez large en réduisant le grossissement via le zoom de la longue-vue et/ou celui de l’APN, afin de corriger la composition de l’image par recadrage lors de l’édition.

  • on peut aussi mémoriser la MAP sur la partie du sujet qui nous intéresse (tête, œil…) en maintenant le déclencheur enfoncé à mi-course (via le déclencheur souple), puis modifier le cadrage pour une composition plus harmonieuse, et enfin presser le déclencheur à fond pour capter la photo. Attention que cette mémorisation ne peut être faite que si le servo AF est débranché.

Profondeur de champ
© Digiscopie.info
Profondeur de champ
© Digiscopie.info
Illustration de la profondeur de champ réduite en digiscopie Au premier plan, la patte du cygne est parfaitement au point

9. Comment augmenter la profondeur de champ ?

Augmenter la profondeur de champ réduit la nécessité d’une MAP ultra-précise, mais y parvenir n’est pas une sinécure en digiscopie.

Commençons par la définir : « la profondeur de champ correspond à la zone de l'espace dans laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour que l'on puisse en obtenir une image que l'œil (ou un autre système optique) acceptera comme nette » (Wikipedia)

Il s’agit donc d’une caractéristique subjective qui dépend de la performance (pouvoir discriminant) du système optique (œil ou autre).

La profondeur de champ

  • diminue avec la distance focale de l’instrument

  • augmente avec l'éloignement du sujet sur lequel on opère la MAP

  • diminue avec l’ouverture du diaphragme de l’instrument

 

Profondeur de champ
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Au second plan la tête du cygne n'a plus la même netteté

Voyons cela point par point.

 

Diminuer la distance focale, c'est-à-dire réduire le facteur de grossissement

Le digiscope possède généralement 2  dispositifs agissant sur le grossissement : l’oculaire zoom de la longue-vue et l’objectif zoom de l’APN. Pour améliorer la profondeur de champ, il faudra donc laisser les deux au plus faible niveau de grossissement possible, compte tenu de la nécessité de combattre le vignetage et de l’éloignement du sujet.

 

Augmenter l’éloignement du sujet

Cela semble une contradiction lorsque l’on souhaite « grossir au maximum », mais c’est la réalité physique ! En pratique, nous pourrons rarement choisir la distance qui nous sépare de notre cible, mais souvenons-nous que, plus elle sera courte, plus la profondeur de champ sera faible et donc plus la MAP sera critique. Pour un sujet proche, il est essentiel d’effectuer la mise au point sur la tête (ou l’oeil) à moins qu’un autre effet soit spécifiquement recherché (cf la patte du cygne ci-dessus).

 

Réduire l’ouverture du diaphragme

Le diaphragme est un dispositif qui est l’équivalent photographique du robinet : grand ouvert, il laisse passer un flot de lumière, et plus fermé, il n’en laisse passer qu’un filet. L’ouverture du diaphragme est exprimée en fraction par rapport à la longueur focale de l’instrument : f/2,8 est ainsi plus grand que f/3,5.

La longue-vue ne dispose pas d’un diaphragme variable comme un téléobjectif, nous ne pourrons donc pas agir à ce niveau (l’ouverture fixe d’une longue-vue est typiquement de f/10). Par contre, nous pourrons agir sur celui de l’APN.

Si nous fermons le diaphragme de l’APN pour augmenter la profondeur de champ (en passant de f/4 à f/5,6 par exemple), cela signifie que nous fermons un peu le robinet à lumière et que, pour en capter la même quantité, l’APN devra obligatoirement réduire sa vitesse d’obturation (laisser couler le robinet plus longtemps). Cela peut alors mener à un flou de bougé…

Il est possible de contourner le problème en imposant à l’APN  d’utiliser une sensibilité plus élevée (400 ISO au lieu de 200 ISO par exemple). Il aura alors besoin de moins de lumière pour réaliser sa photo, et pourra utiliser des valeurs de vitesse et diaphragme plus favorables. Mais travailler à haute sensibilité détériore le piqué de l’image car l’APN doit amplifier électroniquement le signal, et cela provoque des défauts.

Il n’y a donc aucune solution-miracle pour améliorer la netteté de l’image, il faut trouver le meilleur compromis entre l’ouverture du diaphragme, la  vitesse d’obturation et la sensibilité, en fonction des conditions de prise de vue.

10. En pratique, quels sont les meilleurs réglages pour réduire les risques de flou ?

  •  Travaillez avec le plus petit grossissement possible. Grossir davantage dégrade presque toujours la qualité de la photo, alors, à quoi bon ? Avec un APN de 10Mpix, vous pourrez sans difficulté recadrer par la suite.

  • Vérifiez la performance de votre APN aux sensibilités élevées : 200 ISO, 400 ISO, 800 ISO et sélectionnez la sensibilité la plus élevée qui ne dégrade pas la qualité visuelle de l’image. Les compacts voient souvent leur image se dégrader nettement au-delà de 200 ISO, ou 400 ISO pour les meilleurs. Mais si la lumière est rare et le sujet intéressant, mieux vaut peut-être une image moins piquée qu’une image totalement ou floue.

  • Un léger flou de MAP peut être récupéré avec  un programme d’édition d’images comme Photoshop ou Gimp, mais un flou de bougé est rarement corrigible. Favorisez donc une vitesse de prise de vue rapide en imposant à votre APN de travailler avec le diaphragme le plus ouvert possible (mode de priorité à l’ouverture ou mode « sports » ou  « enfants-animaux », selon les modèles d’APN).

  • Aidez votre APN en lui imposant d’office une légère sous-exposition de l’image, par exemple 2/3 de diaphragme. Il pourra ainsi augmenter sa vitesse et votre image ne sera pas affectée par les vilaines zones blanches totalement « grillées » qui sont fréquentes avec les numériques (plumages clairs, reflets de soleil). Vous pourrez facilement tempérer la sous-exposition globale en éditant l’image. Suivez le lien pour des conseils sur le traitement des images.

  • S’il y a beaucoup de lumière et si vous avez imposé une ouverture maximale du diaphragme, il est possible que votre APN vous signale que la photo que vous allez prendre sera surexposée. Dans ce cas, profitez de l’aubaine pour refermer le diaphragme et/ou réduire la sensibilité. Avec les compacts experts, vous pouvez opter pour un réglage qui laisse à l’APN la liberté d’agir seul dans un tel cas. Les APN plus simples qui  n’ont pas de mode de priorité à l’ouverture, mais plutôt un mode « sport » ou équivalent, gèrent d’office la question eux-mêmes.

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